Pourquoi le manque de partage de connaissances peut coûter (très) cher aux entreprises

Quand l’information se perd, c’est l’entreprise qui paie

Chez les PME et les startups, chaque collaborateur détient une partie précieuse du savoir collectif. Pourtant, bien souvent, ce savoir reste dans les têtes… jusqu’au jour où la personne s’en va. Résultat ? Des informations perdues, des erreurs répétées, une baisse de productivité — et des coûts qui grimpent.

Dans cet article, on explore pourquoi le partage de connaissances est bien plus qu’un luxe ou une “bonne pratique RH” : c’est une nécessité stratégique. Et comment une plateforme comme MyCore peut devenir votre meilleur allié pour structurer ce partage au cœur de votre entreprise.


Le partage de connaissances : une définition stratégique

Le partage de connaissances désigne la transmission d’informations, d’expertises et de pratiques entre collaborateurs. Il inclut :

  • Les connaissances explicites (procédures, documents, tutoriels)
  • Les connaissances tacites (expériences, savoir-faire, astuces métiers)

« Ce n’est pas parce qu’une information n’est pas écrite qu’elle n’a pas de valeur. »

Sans un système pour formaliser ces deux types de savoirs, votre entreprise risque de perdre son propre capital intellectuel.


Ce que vous perdez vraiment quand un salarié quitte l’entreprise

1. 42 % de son savoir est perdu à jamais

D’après une étude Panopto, 42 % des connaissances d’un salarié sont uniquement dans sa tête. Non documentées. Non transmises. Quand il part, ces infos s’en vont avec lui.

2. 200 heures de productivité perdues

En moyenne, un nouvel arrivant passe 200 heures à chercher des infos que son prédécesseur aurait pu transmettre. Soit un mois complet à “réinventer la roue”.

3. Des relations clients mises en péril

Exemple : Julie, chargée de compte, connaît tous les petits détails sur son portefeuille clients. À son départ, ces détails disparaissent. Résultat : son remplaçant peine à créer une relation de confiance.


Exemples concrets de connaissances stratégiques souvent perdues

  • Le process exact pour traiter une réclamation client complexe
  • Les réglages techniques d’un outil ou d’une machine
  • La façon de négocier avec un fournisseur historique
  • Les bonnes pratiques internes non écrites (ex : comment convaincre tel manager en interne)

Ces éléments sont rarement formalisés dans un onboarding. Pourtant, ils peuvent faire gagner des semaines à un nouveau collaborateur.


Le coût silencieux du cloisonnement de l’information

Même sans départ de salarié, le cloisonnement de l’information est un poison lent :

  • Le marketing lance une campagne mais n’en informe pas le support client
  • Le commercial connaît les objections terrain mais ne les partage pas avec le produit
  • Le responsable technique détient des procédures non écrites que personne ne peut reprendre

Conséquences : tâches doublées, retards, décisions incohérentes. Et un sentiment de frustration généralisée.


Comment créer une vraie culture du partage de connaissances ?

1. Formalisez les savoirs clés

Ne laissez pas les savoirs critiques dans les têtes. Utilisez des outils comme MyCore pour :

  • Centraliser les process et tutoriels
  • Structurer les savoirs par poste, par projet ou par client
  • Associer chaque ressource à un parcours de formation

2. Valorisez les contributions internes

Vos salariés ne sont pas juste des apprenants : ce sont aussi des formateurs. Avec MyCore, vous pouvez :

  • Lancer des modules de formation collaborative
  • Inciter les experts internes à partager leurs pratiques
  • Récompenser les contributeurs les plus actifs

3. Intégrez le partage dès l’onboarding

Dès l’arrivée d’un collaborateur, intégrez-le à la culture de documentation :

  • Module « comment documenter ses tâches » dès la première semaine
  • Exemples concrets de documentation réussie
  • Objectif : qu’il contribue à son tour dès ses premiers mois

4. Équipez-vous d’une plateforme adaptée

Un simple Drive ou un Slack ne suffisent pas. Ce qu’il faut, c’est :

  • Un espace de documentation organisé
  • Des ressources connectées aux parcours de formation
  • Des droits d’accès simples et sécurisés

C’est exactement ce que propose MyCore, avec une approche alliant LMS + knowledge management + IA générative pour enrichir les contenus au fil de l’eau.


Cas pratique : ce qu’un bon partage change vraiment

Prenons deux startups de taille équivalente :

Startup A (sans stratégie de partage)

  • Le CTO part, il faut 2 mois pour comprendre son système
  • 3 bugs clients identiques corrigés 3 fois séparément
  • Un onboarding qui repose sur “pose tes questions au fur et à mesure”

Startup B (avec stratégie MyCore)

  • Chaque rôle dispose d’un playbook actualisé
  • Chaque procédure est un module de formation documenté
  • Le support client gagne 30 % de temps grâce à une base de connaissances

À taille égale, la deuxième startup va scaler plus vite, avec moins de friction et plus de capitalisation sur l’existant.


Le partage de connaissances : une arme anti-crise

En période d’instabilité (turnover, croissance rapide, changement d’outils…), les entreprises qui tiennent la route sont celles qui savent s’adapter vite. Et pour s’adapter, il faut :

  • Accéder rapidement à la bonne info
  • Partager les expertises sans dépendre des individus
  • Standardiser les savoirs tout en valorisant l’humain

Avec MyCore, vous posez les bases d’un savoir durable, collaboratif et vivant.


Conclusion : ne laissez plus l’intelligence collective s’échapper

Le savoir est la première richesse immatérielle de votre entreprise. Pourtant, trop souvent, elle fuit par manque de structure, de méthode ou de technologie.

Mettre en place une culture et une solution de partage de connaissances, ce n’est pas une dépense, c’est un investissement long terme.

🎯 Et si vous découvriez comment MyCore peut transformer votre gestion des savoirs ?

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